J'en ai loupé quelques uns, je l'avoue! Toujours aussi incisif le Didier!
lundi 29 novembre 2010
Hé Hé Sarkosy, why don't you like the gypsies?
Un duo bien senti entre le groupe roumain Vama Veche (du nom d'une station balnéaire de la Mer Noire connu pour son ambiance hippy-folk de la fin des années 90) et le rappeur français Ralflo.
mercredi 24 novembre 2010
Les leçons de Maitre Corbeau
Qui, du haut de ses talonettes, intérogé en off par quelques journalistes, a quitté l'assistance d'un "Amis pédophiles, à demain"?
Oui, je sais, ca devient facile, toujours le même, notre maitre corbeau, mécontent de la question de journalistes par rapport à l'affaire Karachi, et qui a retourné la question par l'absurde en mentionnant la prétendue pédophilie d'un journaliste:
« Mais écoutez, on est dans un monde de fous. Il n'y en a pas un seul parmi vous qui croit que je vais organiser des commissions et des rétrocommissions sur des sous-marins au Pakistan ? C'est incroyable et ça devient un sujet à la télévision.
Et vous, j'ai rien du tout contre vous. Il semblerait que vous soyez pédophile… Qui me l'a dit ? J'en ai l'intime conviction. Les services. De source orale. Pouvez-vous vous justifier ? Et ça devient “je ne suis pas pédophile”. Mais attends. Faut être sérieux quand même. Soit vous avez quelque chose et dans ce cas-là j'y réponds bien volontiers. Soit vous avez rien et parlez-moi de choses intéressantes… »
Incroyable posture de donneur de leçon face à des journalistes plutôt silencieux dans leur réaction! Depuis, pas une condamnation de la part de la profession! Incroyable!
Le son des échanges, un peu pourri amis ils sont là!
Oui, je sais, ca devient facile, toujours le même, notre maitre corbeau, mécontent de la question de journalistes par rapport à l'affaire Karachi, et qui a retourné la question par l'absurde en mentionnant la prétendue pédophilie d'un journaliste:
« Mais écoutez, on est dans un monde de fous. Il n'y en a pas un seul parmi vous qui croit que je vais organiser des commissions et des rétrocommissions sur des sous-marins au Pakistan ? C'est incroyable et ça devient un sujet à la télévision.
Et vous, j'ai rien du tout contre vous. Il semblerait que vous soyez pédophile… Qui me l'a dit ? J'en ai l'intime conviction. Les services. De source orale. Pouvez-vous vous justifier ? Et ça devient “je ne suis pas pédophile”. Mais attends. Faut être sérieux quand même. Soit vous avez quelque chose et dans ce cas-là j'y réponds bien volontiers. Soit vous avez rien et parlez-moi de choses intéressantes… »
Incroyable posture de donneur de leçon face à des journalistes plutôt silencieux dans leur réaction! Depuis, pas une condamnation de la part de la profession! Incroyable!
Le son des échanges, un peu pourri amis ils sont là!
La dure loi de l'orpaillage illégal
L'orpaillage illégal a encore engendré un drame le week-end dernier à Langatabbetje (on prononce langatabiki), à 3 heures de pirogue de Saint-Laurent côté Suriname. Suite à une avalanche de boue et de sable, 7 mineurs sont morts ensevelis. La nouvelle s'est vite répendue car de nombreuses familles des disparus vivent à Saint-laurent.
Le détenteur de la concession aurifère, Surgold, explique que les orpailleurs illégaux avaient envahi la concession - avec de grosses pelles mécaniques - et qu'il avait dû suspendre ses propres activités sur le site pour des raisons de sécurité.
Parmi les nombreux messages, le président de la Région Guyane, Rodolphe Alexandre, ancien socialiste, devenu poulain de Maitre Corbeau, qui a fait part « de sa plus vive émotion, de sa compassion, et de sa solidarité aux familles des victimes, ainsi qu'au peuple surinamien tout entier », sans évoquer un seul instant la problématique de l'orpaillage clandestin qui ronge la région. Aucune évocation non-plus pour le Parti Socialiste Guyanais!
Mine de rien, il y a de quoi être inquiet de cette économie sous-terraine, mafieuse, meurtrière et illégale qui repose sur un métal qui est passé de 7,28€ le gramme en 2000 à 25,95 en 2009, pour atteindre 32€ aujourd'hui!!
Un teaser de la fièvre de l'or, documentaire qu'on a diffusé récemment sur Saint-Laurent, dans le cadre du mois du documentaire, qui s'intéresse aux ravages de l'orpaillage et à leus conséquences sur les populations de Guyane, qu'il s'agisse des brésiliens, des amérindiens, des bushinengués.
La Fièvre de l'or
Uploaded by leblogcine. - Full seasons and entire episodes online.
Le détenteur de la concession aurifère, Surgold, explique que les orpailleurs illégaux avaient envahi la concession - avec de grosses pelles mécaniques - et qu'il avait dû suspendre ses propres activités sur le site pour des raisons de sécurité.
Parmi les nombreux messages, le président de la Région Guyane, Rodolphe Alexandre, ancien socialiste, devenu poulain de Maitre Corbeau, qui a fait part « de sa plus vive émotion, de sa compassion, et de sa solidarité aux familles des victimes, ainsi qu'au peuple surinamien tout entier », sans évoquer un seul instant la problématique de l'orpaillage clandestin qui ronge la région. Aucune évocation non-plus pour le Parti Socialiste Guyanais!
Mine de rien, il y a de quoi être inquiet de cette économie sous-terraine, mafieuse, meurtrière et illégale qui repose sur un métal qui est passé de 7,28€ le gramme en 2000 à 25,95 en 2009, pour atteindre 32€ aujourd'hui!!
Un teaser de la fièvre de l'or, documentaire qu'on a diffusé récemment sur Saint-Laurent, dans le cadre du mois du documentaire, qui s'intéresse aux ravages de l'orpaillage et à leus conséquences sur les populations de Guyane, qu'il s'agisse des brésiliens, des amérindiens, des bushinengués.
La Fièvre de l'or
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lundi 22 novembre 2010
La manipulation par Chomsky
Noam Chomsky, linguiste et philosophe américain, a élaboré une liste issues de ses observations de dix stratégies de manipulation à travers les médias.
1/ La stratégie de la distraction
Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. » Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »
2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions
Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.
3/ La stratégie de la dégradation
Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.
4/ La stratégie du différé
Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.
5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge
La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-âge ou un handicapé mental. Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? « Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans ». Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »
6/ Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion
Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…
7/ Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise
Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. « La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »
8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité
Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte…
9/ Remplacer la révolte par la culpabilité
Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution!…
10/ Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes
Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.
Chomsky invité de l'émission ce soir ou jamais lors de sa récente venue en france en juin 2010.
1/ La stratégie de la distraction
Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. » Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »
2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions
Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.
3/ La stratégie de la dégradation
Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.
4/ La stratégie du différé
Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.
5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge
La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-âge ou un handicapé mental. Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? « Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans ». Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »
6/ Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion
Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…
7/ Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise
Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. « La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »
8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité
Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte…
9/ Remplacer la révolte par la culpabilité
Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution!…
10/ Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes
Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.
Chomsky invité de l'émission ce soir ou jamais lors de sa récente venue en france en juin 2010.
Appel pour un réferundum sur la réforme des retraites
L'article 11 de la Constitution ayant été révisé en 2008, il y a
moyen de contraindre le Président de la République de proposer un
référendum sur les retraites, à condition que ce référendum soit proposé
par 1/5 des parlementaires, eux-mêmes soutenus par 1/10 des électeurs
(nous). SOIT 4,4 millions de signatures. A nous de jouer!
Pour signer l'appel, rendez-vous sur http://www.referendumretraites.org/
jeudi 18 novembre 2010
Les fables de maitre Corbeau
A un journaliste qui le questionnait sur d'éventuelles versement de rétro commissions illicites dans le cadre de l'attentat de karachi, voilà ce que son altesse sarkozy 1er répondait le 18 juin 2009:
Attentat de Karachi : Sarkozy dénonce une "fable" ...
Uploaded by politistution. - News videos hot off the press.
Et qu'aprend t'on hier? le ministre de la défense de l'époque, Charles Millon, a confirmé au juge Van Ruymbeke le 15 novembre dernier, que des commissions illicites ont été versées dans le cadre des contrats d'armes avec le Pakistan. Tiens donc!! Je suis curieux de voir comment maitre corbeau va se sortir de ce scandale!...Un de plus!
Plus d'infos sur: http://www.rue89.com/2010/11/17/karachi-devant-le-juge-millon-confirme-les-retrocommissions-176265
Attentat de Karachi : Sarkozy dénonce une "fable" ...
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Et qu'aprend t'on hier? le ministre de la défense de l'époque, Charles Millon, a confirmé au juge Van Ruymbeke le 15 novembre dernier, que des commissions illicites ont été versées dans le cadre des contrats d'armes avec le Pakistan. Tiens donc!! Je suis curieux de voir comment maitre corbeau va se sortir de ce scandale!...Un de plus!
Plus d'infos sur: http://www.rue89.com/2010/11/17/karachi-devant-le-juge-millon-confirme-les-retrocommissions-176265
dimanche 14 novembre 2010
En turbulence!
C'est à un concert pas ordinaire qu'on a assisté samedi soir avec des potes de Saint-Laurent.
La turbulabande avec de gauche à droite, Ben, Mag, myself, Céline, angélo, François alias mister blague et notre tennisman à la sortie d'une belle victoire à Berçy, Nono.
Après un bon apéro, on prend la route de la charbo d'où partent les pirogues pour notre voisin surinamais, Albina. C'est là qu'un concert de turbulence, groupe jamaiquain, référence dans le monde du reggae est prévu et autant dire qu'on en a entendu parlé depuis un bout de temps. C'est pas souvent que des gros groupes viennent jouer dans cette terre de reggae!
Bref, on rejoint la charbo, nous désaltérons avant la traversée qui nous attend et embarquons avec d'autres "fans". 15 minutes plus tard, nous voilà à Albina by night. Déjà pas mal d'effervescence. On nous indique le chemin et c'est parti. Les taxis sont là, nombreux, de plus en plus nombreux sur une petite piste avec des ponts à passage alterné...Le bordel! Quelques bars de ci de là, on avance, on avance et plus on se rapproche de l'entrée, plus notre marche ressemble à un défilé avec des spectateurs de chaque côté qui attendent.
On arrive enfin et comme tout le monde, on prend le sas opaque, sans lumière, avec des gens qui doublent tranquilou, des gens qui ressortent, des infos comme quoi le concert est annulé, qu'il y a des embrouilles avec les organisateurs, qu'ils ne vendent plus de place. Seule la dernière infos se vérifie. On trouve un plan au black, foireux pour finir, il n'y avait qu'une partie de la souche... Et puis un nouveau bruit court: c'est possible de rentrer gratos. On s'engage de nouveau dans le sas et effectivement, on rentre sans aucun controle!!!
On se retrouve dans un grand parc mal éclairé, bien rempli, avec une scène façon grosse tente de mariage à côté d'une autre scène, en bois celle-ci et faisant office de bar. Originale! On la remarque directe, une bagarre s'y tenait au feu des rares projecteurs présents... Well well, on est où là? Mais oui, j'avais oublié, Albina!
Un groupe finit par prendre place sur la scène, fait ses balances et lancent leur concert devant une foule qui s'approche. Pas mal de larsens et de craquements sonores plus loin, c'est parti, place à la zic... L'ambiance monte doucement malgré un son pourri et bam, le groupe quitte la scène après des soucis techniques qui devenaient supers gênants. La foule s'écarte, certains quittent les lieux et nous, on se rafraichit dans le bar qui avait retrouvé son calme. A part François, tout le monde est persuadé que c'est mort et que ce concert n'est en fait qu'une vaste arnaque d'organisation comme il en existe par ici...
Le temps passe, il doit être 2h30 (on est arrivé vers minuit) on rencontre des amis de St-Laurent et l'espoir revient! La scène se rallume, des musiciens installent leur instrument et un ami pense avoir reconnu turbulance dans le back stage local... Ca se confirme, le speaker prend le micro, annonce le groupe et toute la foule se rapproche de la scène, nous avec. Ca part direct très fort avec un phrasé très rythmé proche du ragga et du dub parfois. La foule répond, ca chante, ca danse, ca jump, ca pull up... Le son est toujours aussi pourri mais le charisme du chanteur, les incertitudes sur le concert, l'ambiance sur la scène avec plus de 30 personnes (les musiciens, des invités officiels(ita fes par exemple), des invités surprise, des fans, les organisateurs, les portes drapeaux...) créée une ambiance électrique. Tout semble pouvoir arriver! On est à fond, je sors mon appareil photo de temps à autres pour garder un souvenir de tout ça, ca secoue pas mal. Le retour se passe nickel dans des pirogues bien remplies; On continue la soirée chez Paul, sur le dance flor et on la termine par un pti bain et quelques sauts dans la ballaté... Bonheur!
Quelques vidéos donc avec la première coupure électrique général en direct
Turbulence, live à Albina (13/11/2010)
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puis la deuxième qui a marqué la fin du concert.
Turbulence, fin live à Albina (13 novembre 2010)
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D'autres titres dont je ne connais pas encore le nom:
Turbulance, live à Albina (13/11/2010)
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Turbulence, live à Albina (13/11/2010) 3/5
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Turbulence, live à Albina (13/11/2010) 4/5
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La turbulabande avec de gauche à droite, Ben, Mag, myself, Céline, angélo, François alias mister blague et notre tennisman à la sortie d'une belle victoire à Berçy, Nono.
Après un bon apéro, on prend la route de la charbo d'où partent les pirogues pour notre voisin surinamais, Albina. C'est là qu'un concert de turbulence, groupe jamaiquain, référence dans le monde du reggae est prévu et autant dire qu'on en a entendu parlé depuis un bout de temps. C'est pas souvent que des gros groupes viennent jouer dans cette terre de reggae!
Bref, on rejoint la charbo, nous désaltérons avant la traversée qui nous attend et embarquons avec d'autres "fans". 15 minutes plus tard, nous voilà à Albina by night. Déjà pas mal d'effervescence. On nous indique le chemin et c'est parti. Les taxis sont là, nombreux, de plus en plus nombreux sur une petite piste avec des ponts à passage alterné...Le bordel! Quelques bars de ci de là, on avance, on avance et plus on se rapproche de l'entrée, plus notre marche ressemble à un défilé avec des spectateurs de chaque côté qui attendent.
On arrive enfin et comme tout le monde, on prend le sas opaque, sans lumière, avec des gens qui doublent tranquilou, des gens qui ressortent, des infos comme quoi le concert est annulé, qu'il y a des embrouilles avec les organisateurs, qu'ils ne vendent plus de place. Seule la dernière infos se vérifie. On trouve un plan au black, foireux pour finir, il n'y avait qu'une partie de la souche... Et puis un nouveau bruit court: c'est possible de rentrer gratos. On s'engage de nouveau dans le sas et effectivement, on rentre sans aucun controle!!!
On se retrouve dans un grand parc mal éclairé, bien rempli, avec une scène façon grosse tente de mariage à côté d'une autre scène, en bois celle-ci et faisant office de bar. Originale! On la remarque directe, une bagarre s'y tenait au feu des rares projecteurs présents... Well well, on est où là? Mais oui, j'avais oublié, Albina!
Un groupe finit par prendre place sur la scène, fait ses balances et lancent leur concert devant une foule qui s'approche. Pas mal de larsens et de craquements sonores plus loin, c'est parti, place à la zic... L'ambiance monte doucement malgré un son pourri et bam, le groupe quitte la scène après des soucis techniques qui devenaient supers gênants. La foule s'écarte, certains quittent les lieux et nous, on se rafraichit dans le bar qui avait retrouvé son calme. A part François, tout le monde est persuadé que c'est mort et que ce concert n'est en fait qu'une vaste arnaque d'organisation comme il en existe par ici...
Le temps passe, il doit être 2h30 (on est arrivé vers minuit) on rencontre des amis de St-Laurent et l'espoir revient! La scène se rallume, des musiciens installent leur instrument et un ami pense avoir reconnu turbulance dans le back stage local... Ca se confirme, le speaker prend le micro, annonce le groupe et toute la foule se rapproche de la scène, nous avec. Ca part direct très fort avec un phrasé très rythmé proche du ragga et du dub parfois. La foule répond, ca chante, ca danse, ca jump, ca pull up... Le son est toujours aussi pourri mais le charisme du chanteur, les incertitudes sur le concert, l'ambiance sur la scène avec plus de 30 personnes (les musiciens, des invités officiels(ita fes par exemple), des invités surprise, des fans, les organisateurs, les portes drapeaux...) créée une ambiance électrique. Tout semble pouvoir arriver! On est à fond, je sors mon appareil photo de temps à autres pour garder un souvenir de tout ça, ca secoue pas mal. Le retour se passe nickel dans des pirogues bien remplies; On continue la soirée chez Paul, sur le dance flor et on la termine par un pti bain et quelques sauts dans la ballaté... Bonheur!
Quelques vidéos donc avec la première coupure électrique général en direct
Turbulence, live à Albina (13/11/2010)
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puis la deuxième qui a marqué la fin du concert.
Turbulence, fin live à Albina (13 novembre 2010)
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D'autres titres dont je ne connais pas encore le nom:
Turbulance, live à Albina (13/11/2010)
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Turbulence, live à Albina (13/11/2010) 3/5
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Turbulence, live à Albina (13/11/2010) 4/5
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Faire-part
J'ai l'honneur de vous faire part de la naissance de l'association Malabar'OUF qui a pour objectif la création de spectacle et leur promotion.
C'est avec cette association que nous allons nous rendre, durant l'été prochain, en métropole et dans les pays limitrophes afin de jouer le Bar OUF, notre première création. A ce sujet, si vous connaissez des festivals, des scènes, des places sympas ou encore mieux, si vous avez des connaissances dans le milieux, n'hésitez pas à faire signe, on est preneur!
Le liens vers le tout récent blog de l'assos: http://malabarouf.blogspot.com/
A qui le tour?
"Mais qui va faire de la figuration à Matignon, La dernière chronique de Didier Porte pour Médiapart (http://www.mediapart.fr)
jeudi 11 novembre 2010
Meuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuh!
Si vous cherchez une radio sympa à écouter sur le net, sans pub, avec de la bonne zic bien variée, allez donc faire un pti tour sur le site de radio meuh, une radio indépendante certifiée pur produit des montagnes des Alpes. Je viens de la découvrir (merci mister blague!) et c'est pas mal du tout! A écouter sur le blog juste à droite.
Le blog de la radio: http://blanche.radiomeuh.com
Solutions locales
On continue les projections ce vendredi soir au marché avec cette fois le dernier documentaire de Colinne Serreau "solutions locales pour un désordre globale". Après le documentaire, 2 initiatives locales seront à l'honneur avec en premier lieu des membres d'une association qui viendront nous parler de la terra preta, technique de culture amérindienne qui consiste à enrichir le sol avec du charbon de bois. On parlera ensuite d'un projet de local et de radio associative qui se monte sur Saint-Laurent.
Quelques photos de la projection de mardi dernier à la charbonnière, au bord du fleuve maroni et sous les étoiles. Quelques petits problèmes techniques à déplorer mais un beau succès avec plus de 100 spectateurs et des applaudissements à la fin de ce chouette documentaire d'olivier weber, la fièvre de l'or. Ca motive!!
dimanche 7 novembre 2010
Doc à gogo
Mardi, dans le cadre du mois du documentaire, l'Atelier Vidéo et Multimédia organise la projection gratuite sur grand écran de "la fièvre de l'or", documentaire d'Olivier Weber au coeur du trafic de l'or en Guyane. Ca se passera à la charbonnière, chez Paul à 19h30.
Retrouvez les documentaires près de chez vous sur http://www.moisdudoc.com/spip.php?rubrique76)
jeudi 4 novembre 2010
Giovani sample
Basicamente! Une des réalisations de Giovani sample, un projet de vidéo sampling créé en 2004 et qui regroupe des musiciens et un réalisateur. Le vidéo-sampling, c'est une activité qui se développe et qui consiste à mettre des bouts d’images de personnes jouant de la musique ou chantant et les mixer les unes avec les autres.
Leur site: http://www.giovannisample.com/
Giovanni samples _ basicamente
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Leur petit dernier, black track
Giovanni Sample - The Black Track
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Leur site: http://www.giovannisample.com/
Giovanni samples _ basicamente
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Leur petit dernier, black track
Giovanni Sample - The Black Track
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